Auteur : Krishnamurti, Jiddu ( 1895 - 1986 )
Bibliothèque Nationale de France
Langue : Anglais
Sexe : Masculin
Date naissance : 12/05/1895 à Madanapalle, Chittoor, Andhra Pradesh (Inde)
Date décès : 17/02/1986 à Los Angeles (Calif.)
Note : Philosophe et écrivain d'origine indienne. - Issu d'une famille brahmane Vaishnava. - Venu en Grande-Bretagne avec Annie Besant (1909). - Directeur, Order of the Star in the East, Theosophical Society, Adyar, Madras, Inde (1911-1929)
Forme Rejetées : Džiddu Krišnamurti
Džiddu Krišnamurti
Džiddu Krišnamurti
Krishnamurti
Krishnamurti
Krishnamurti
Джидду Кришнамурти
Джидду Кришнамурти
Джидду Кришнамурти
Džiddu Krišnamurti
Džiddu Krišnamurti
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Krishnamurti
Krishnamurti
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Джидду Кришнамурти
Джидду Кришнамурти
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Alcyone
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Je. Kr̥ṣṇamūrti
Je. Kr̥ṣṇamūrti
Je. Kr̥ṣṇamūrti
जॆ॰ कृष्णमूर्ति
जॆ॰ कृष्णमूर्ति
जॆ॰ कृष्णमूर्ति
जॆ॰ कृष्णमूर्ति
जॆ॰ कृष्णमूर्ति
जॆ॰ कृष्णमूर्ति
Je. Kr̥ṣṇamūrti
Je. Kr̥ṣṇamūrti
Je. Kr̥ṣṇamūrti
Alcyone
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WikiPédia
Jiddu Krishnamurti (ou Jidhu Krishnamurti) (en télougou జిడ్డు కృష్ణ మూర్తి et en tamoul ஜிட்டு கிருஷ்ணமூர்த்தி), né à Madanapalle (Andhra Pradesh) le 12 mai 1895 et décédé à Ojai (Californie) le , est un penseur indien promouvant une éducation alternative. Apparue au sein de la théosophie et de la contreculture des années 1960, sa pensée exerça une influence notable sur des auteurs et des personnalités de différentes disciplines. D'abord présenté dès son adolescence par la société théosophique de l'époque comme un messie potentiel, il a opéré un revirement un peu plus tard pour développer une thèse radicalement opposée, reposant principalement sur l'idée qu'une transformation de l'humain ne peut se faire qu'en se libérant de toute autorité. Sa conviction était qu'un tel changement devait passer par une transformation de ce qu'il appelait le « vieux cerveau conditionné de l'homme » (« mutation de la psyché ») afin d'accéder à une liberté que ni les religions, ni l'athéisme, ni les idéologies politiques ne seraient capables de produire, puisque, selon lui, ces formes de pensée ne font que perpétuer les conditionnements.