Médicaments effets secondaires
Compl. Titre  la mort
Auteurs   Virapen, John (Auteur)
Even, Philippe (Prefacier)
Edition  Le Cherche Midi : Paris , 2014
Collection   Documents
Collation   363 p.
Illustration   couv. ill. en coul.
Format   22 cm
ISBN   978-2-7491-3621-9
Langue d'édition   français
Sujets   MédicamentsMédicaments -- Effets secondaires -- Effets secondaires -- Enquêtes -- Enquêtes
Risques pour la santé
Industrie pharmaceutique -- Enquêtes
Catégories   Techniques, santé, cuisine
Nombre de réservation(s) actuelle(s) : 0
Réservation
SiteNuméroCoteSection / LocalisationEtat
Appoigny 089013000089993 615 VIRAdulte / En réserveEn Reserve
Résumé : De nombreux médicaments sont mis sur le marché, sans que souci soit fait des effets secondaires non suffisemment contrôlés et qui causent des dizaines de milliers de morts chaque année à travers le monde. De grands universitaires ont consacré de nombreuses études aux perversions cyniques et scandaleuses des grandes firmes pharmaceutiques mondiales, qui se retirent de plus en plus de la recherche sur les grands fléaux (cancers, Alzheimer, maladies neurologiques, psychiatriques, virales et parasitaires du tiers-monde), au profit quasi exclusif de la création d’immenses marchés artificiels à rentabilité immédiate, leur assurant des bénéfices exorbitants, trois à quatre fois supérieurs à ceux de toutes les autres industries, sans aucun avantage pour la santé et les malades. Elles y parviennent de deux façons : d’abord, par la promotion de molécules prétendues nouvelles, quoique peu novatrices, simples copies des médicaments plus anciens et dont certaines ont déjà provoqué des dizaines et parfois des centaines de milliers de morts ; ensuite, en suscitant l’anxiété, donc la demande de la population et des parents, inventant et promouvant par un marketing forcené dans tous les médias des maladies qui n’existent pas (pré-hypertension, cholestérol, dépression, hyperactivité de l’enfant, dysphorie menstruelle, etc.) et pour lesquelles elles proposent des pseudo-médicaments, qui ont d’autant moins de chance d’être efficaces qu’ils n’ont rien à traiter, mais qui sont loin d’être sans danger.